Acquise en 1963, la maison de Cheikh Guèye saisie par la banque après une fausse procuration et vendue aux enchères, “Libération” titre que l’Etat et la Bis sont au cœur du scandale.Selon “Libération”, un employé de la Banque islamique s’était tapé…un prêt, au nom du plaignant, sur la base d’une procuration bidon.

Débouté au Sénégal, Cheikh Guèye a été rétabli dans ses droits par la Cour de justice de la Cedeao.

L’Etat, dont la responsabilité a été engagée, est condamné à payer quatre vingt-cinq (85) millions de FCfa au plaignant.