La récente libération de 312 policiers adjoints volontaires a provoqué de nombreuses réactions dans l’opinion publique. Interpellé sur la question ce lundi, le Premier ministre Ousmane Sonko a apporté des éclaircissements.

Selon lui, cette décision trouve son origine dans les conditions de recrutement de ces agents. « Le problème vient de la manière dont ils ont été engagés », a-t-il affirmé devant l’Assemblée nationale, sans donner de détails précis sur d’éventuelles irrégularités.

Le chef du gouvernement a insisté sur la volonté de son équipe de mettre fin aux pratiques contraires aux règles de transparence et de mérite dans la fonction publique. Il a également souligné l’importance de garantir aux forces de sécurité un cadre légal et conforme pour leur engagement au service de l’État.

Cette sortie vise à désamorcer la polémique autour de ce dossier sensible, tout en réaffirmant la volonté du gouvernement de réformer en profondeur les processus de recrutement dans les secteurs clés de l’administration.