Dans ce cas, « il sert à stimuler le mécontentement à l’égard des autorités, provoquer une division au sein de la société, des dissensions interethniques et interreligieuses », poursuit le haut responsable.
Ce genre d’attaques impose aux membres de l’Organisation du traité de sécurité collective de concevoir des mécanismes pour contrer cette menace, estime M.Tasmagambetov.