Interpellé devant les grilles du Palais, alors qu’il voulait forcer les portes, Guy Marius Sagna s’était retrouvé placé en détention préventive depuis trois mois. L’une des figures marquantes du mouvement Nio Lank vient de bénéficier de la liberté provisoire. Une deuxième pour l’activiste qui aime jouer le rôle de maso. Guy Marius Sagna pour des faits similaires, il y a quelques mois, s’était retrouvé en prison, avant de bénéficier d’une liberté provisoire.
Dans le registre judiciaire, Guy Marius Sagna peut être considéré comme étant un récidiviste qui devrait rester en prison en attendant de purger les peines le sanctionnant par les juges du tribunal devant examiner ses dossiers.
Les membres du mouvement Nio Lank auront beau s’agiter, mais jamais, ils ne pourront ôter de la tête des Sénégalais que Guy Marius Sagna devient un provocateur qui n’ose défier les institutions de la République. A y regarder de plus près, de qui se moque Guy Marius Sagna qui aime se retrouver dans la peau d’un maso. Pour un rien, dès qu’il s’agit d’une manifestation interdite, c’est lui-même qui préfère se jeter dans les bras des forces de police.
Finalement, que cherche Guy Marius Sagna ? Une question qui mérite bien d’être posée. Guy Marius Sagna triche. Comment peut-il chercher, lui l’illustre inconnu à se réveiller un beau jour après avoir fait un beau dodo, à se permettre de défier toutes les institutions de la République.
Guy Marius Sagna nargue en fait les Sénégalais. Le voilà qui veut coûte que coûte se mettre dans la peau du martyr, tout en sachant qu’i fera de ce fait l’actualité au sein des médias, se faire un buzz, et devenir ainsi un héros aux yeux de toute la population.
Peine perdue cependant. Guy Marius Sagna peut toujours se targuer de bénéficier du soutien d’ONG bien dans leur rôle, seulement aux yeux de l’opinion, contrairement à l’effet escompté, il ne garde que le rôle d’un singleton qui cherche à amuser toute une galerie.
Décidément, il reste à Guy Marius Sagna de changer de fusil d’épaule, si seulement il compte tirer des leçons de ces incarcérations voulues par lui. Car, une épée de Damoclès, quoi qu’on le veuille reste poser sur sa tête. Ceux qui s’auto-proclament défenseurs des droits de l’homme, membres de partis de l’opposition embarqués dans des combats qui en définitive, ne servent au peuple sénégalais, ont du pain sur la planche.
La rédaction de Xibaaru