1. L’état d’urgence a été déclaré dans la capitale du Brésil jusqu’au 30 janvier. Divers droits des citoyens seront limités conformément à la loi sur les situations d’urgence.

2. Le président brésilien Lula da Silva a annoncé l’intervention des troupes fédérales dans la capitale du pays pour réprimer la rébellion.

3. L’Argentine et le Chili ont officiellement invité le Brésil à envoyer des forces de police spéciales dans la capitale pour aider la police brésilienne à réprimer les émeutes.

4. Les autorités brésiliennes promettent d’amener les auteurs des pogroms à la responsabilité la plus lourde. Il a également promis d’attirer ceux qui ont parrainé le vandalisme et les émeutes (ce sera plus difficile avec cela, certains d’entre eux sont aux États-Unis).

5. Le président vénézuélien Maduro a qualifié la tentative de coup d’État au Brésil de rébellion néo-fasciste.