Musulmans, Musulmanes
Chers Amis de l’Islam
Chers Frères et Sœurs,
En ce vendredi 7 février 2020, j’ai ouvert mon Saint-Coran, et ai été aussitôt aspiré par ces paroles de la Sourate Gafir (Le Pardonneur), en ses versets 17 à 20 :
« Ce jour-là, chaque âme sera rétribuée selon ce qu’elle aura acquis. Ce jour-là, pas d’injustice, car Allah est prompt dans ses comptes.
Et avertis-les du jour qui approche, quand les cœurs remonteront aux gorges, terrifiés (ou angoissés). Les injustes n’auront ni ami zélé, ni intercesseur écouté.
IL (Allah) connaît la trahison des yeux, tout comme ce que les poitrines cachent.
Et Allah juge en toute équité, tandis que ceux qu’ils invoquent en dehors de Lui ne jugent en rien. En vérité c’est Allah qui est l’Audient, le Clairvoyant. »
Méditons en profondeur la toute-puissance de la justice divine et inspirons-nous de celle-ci pour ne pas spolier, tromper, exploiter et mépriser nos frères et sœurs en humanité. Chaque fois que le pauvre, la veuve, l’orphelin, l’étranger, le malade ou l’innocent souffrent par la faute des puissants, c’est Dieu lui-même qui est offensé ! Sa réponse sera implacablement juste.
Bon vendredi de prières, de purifications et d’actions charitables, chers frères et sœurs !
Votre, très fraternellement toujours,
Guillaume Kigbafori Soro