Au commencement, après les temps immémoriaux, suite à l’épopée du Saint homme, empereur guerrier, El Hadj Oumar Foutiya Tall, après le fracas de la prière monolithique « Mame Kantar », le dernier vestige de l’idolâtrie au Sénégal fut détruit par Baye Laye, « Amoul Maasse! » l’aîné de la deuxième vague religieuse libératrice. C’était suite à la victoire de l’Islam sur l’animisme au « Rip » du Saloum, dont « Nioro » la lumineuse est la capitale.
Ce fut la conquête par « l’Almamy Maba Diakhou Ba » et ses jeunes généraux,
*El Hadj Abdoulaye Niasse Le Grand qui chevauchait en première ligne sabre à la main avec son fameux gilet par balles mystique en forme d’amulettes autour du cou.
* Mame Mor Anta Saly Mbackè, lui, faisait chevaucher les lignes miraculeuses du Coran sur l’esprit des princes Ba pour en laisser des traces indélébiles après que la poussière s’est tassée.
Le succès de la bataille de Pâté Badiane acquis, les généraux cités furent respectivement récompensés par Taïba Niassene et Porokhane Mame Diarra Bousso.
Dans notre course à cheval effrénée à travers l’histoire d’avant l’actuel Sénégal, nous dépassames des géants et à y regarder de plus près nous mentionnerons des sommités comme Maad Biteye, Qadi Amar Fall, Thierno Souleymani Bal…..
Malgré la célérité avec laquelle se déroule notre voyage temporel, comme les trois mages, suivant l’étoile céleste, arrêtons nous sur l’étape de Touba. Cette fois ci, pour aller à la rencontre de notre Christ Rédempteur noir, Khadimou Rassouloul Lahi (P.S.L). Libérateur de l’homme nègre à tous les étages: corps, esprit et âme . Et à toutes les étapes: l’avant là, l’ici bas et l’au delà.
Ceci nous amène à l’esprit « Massalikoul Jinnane » (Itinéraires des Paradis) . Corps céleste incarné à merveille en place du lieu de Prière mouride de « Bopp », la spirituelle.
Ayant prié Allah, d’une prière si rare que les entendeurs n’osérent point dire: Amen.
Oui, l’absorption de toute la souffrance du peuple noir. Afin que celui-ci en soit épargné.
7 ( le chiffre infini de l’Islam) années, de supplice sans broncher à travers la côte ouest de l’Afrique pour l’absolution de l’âme nègre.
Tout en écrivant 7 tômes, canons du mouridisme.
Pour ceux qui attendent la seconde venue du Christ Hébreux, peut être qu’ils ont scruté un ciel inadéquat et une couleur inadéquate.
Grand architecte, de sa cité et de sa communauté, il forma des collosses pour la mise en œuvre de l’idée originelle inspirée.
Serigne Modou Moustapha Mbackè, fit le T.E.R de Diourbel à Touba, avec la main d’œuvre locale par préférence nationale et évitant ainsi toute surfacturation lié aux caisses d’avance en payant de sa propre poche.
Son Khalif, grand bâtisseur de notre première merveille nationale et huitième mondiale, eut lui aussi une préférence: le républicain au dessus de son coreligionnaire.
Tout en rendant la haute philosophie, terre à terre pour une consommation de masse! Baye Galasse!
Amoureux de la finance, j’en viens à mon préféré, Mame Lahad Mbackè, lui même pater du père de la nation d’alors.
Oui, encore Baye Lahad comme style vestimentaire que votre serviteur, adepte du « baggy », préfère au « Nietty Abdou ».
En parlant de la forme nous allons toucher le fond pour avoir un rebondissement économique, la force cinétique aidante.
Oui, tel un Achille du développement avec ses cinquantes myrmidons ( milliardaires) dont le plus grand à encore le plus grand immeuble éponyme à Dakar , El Hadj Babacar Kébe dit Ndiouga.
A.K.F, grand monsieur avec sa si longue flotte de camions remorques que je qualifierais de trains roulant sur route.
Ceci pour arriver au cadet, au préféré de son illustre père et de la nation entière, comme son nom, tout en défiant Descartes, il avait subjugué le plus que parfait, l’Éternel.
Le saint homme, nous aura fourni son premier disciple, père du Sénégal moderne ne serait ce que de par sa mise à niveau de Dakar sur sa sœur rivale qu’est Abidjan. Son succès, notre fierté.
Sidy El Hadj Malick Sy, le saint homme qui n’a jamais touché une brique a néanmoins établi plus de dix milles mosques toujours avec le leitmotiv de l’exemple exemplaire « le nassiril hakh bil hakhi » (P.S.L).
L’Imam de Tivaouane ayant comme unique arme son chapelet duodecimal eut l’oreille attentive du colonisateur, pour la réunification de la Grande famille Tijaane souffrant d’exils et de déportations.
Il renvoya l’ascenseur à son père spirituel, El Hadj Abdoulaye Niasse le Grand, venu défendre son père géniteur assassiné à l’épreuve des assaillants, en obtenant pour lui réparation. « Leona » le dû Niassène est né.
L’homme au parasol, laissa le reste du travail à son secrétaire, petit fils de son marabout, Seydou Nourou Tall pour poursuivre la mission en beauté. Tout en le dotant par la grâce divine d’une longue vie légendaire à proportion biblique.
Serigne Babacar Sy,, premier Khalif des Tidianes, lors de sa premiere « Burd » , héritera du titre bien mérité de détenteur du legs de l’œuvre réunificatrice de son illustre père.
Le » homonyme » de votre serviteur aura créé le plus grand mouvement socio-religieux par sa triptyque : « Sen Diiné » « Sen Tarikha » « Sen Métier ». Tout en fournissant à l’Etat du Sénégal, premier employeur du pays, la main d’œuvre honnête, probe et qualifiée. Se pointant même avant l’heure juste après la Wazifa de l’aube imposé par le « Mbaye Vainqueur ».
Votre serviteur, bon serviteur se sert toujours en dernier ceci pour vous inviter chez lui à la maison aux deux tours jumelles.
Par le même principe énoncé plus haut, je commence par Médina Baye, la céleste.
Cheikh Al Islam, est le premier exportateur du Sénégal, champion de tous les temps, du produit spirituel : la plénitude.
Comme son homonyme le Prophète Ibrahim (A.S), père des deux branches prophétiques et de la proclamation de l’Unicité de EL (Dieu).
Baye, Mame Baye pour moi, a démocratisé la gnose pour les masses de 7 à 75 ans. Avec une philosophie appliquée basée sur la Salatou Fatihi » vibrationnel à haute tension capable de faire plier l’univers à la volonté du jeune disciple qui vient de tenir un chapelet. Je m’en arrête là en tant que non initié.
C’est la solution du remembrement au divin, recherchée depuis la Grèce antique par Platon, Plotinus après lui, par les grands Sheikh musulmans tels que Al Ghazali, Ibn Arabi, Al Djili.
Barhaama Abdul Lahi, lui la trouva . Et , même mieux, plia l’espace-temps peut être à travers un trou de ver pour réduire ce voyage interstellaire qui nécessite plusieurs vies en 7 ou en 5 secondes pour certains.
Ne tenant pas ma promesse, je suis entrain de m’aventurer en terrain inconnu.
Revenons alors au Baye temporel qui naquit en 1900 et mourut après 75 ans . En laissant derrière lui 75 enfants. Tous, le Coran dans le cœur, avec au moins 75 millions de disciples à travers les 7 mers et les 5 continents .
Et pour ne pas écrire un livre qui prendrait 75 ans pour être bien lu, laissons le Baye fondateur de la cité internationale et même ses illustres fils de côté . Pour parler de celle qui est plus puissante que mille hommes réunis, ma tante paternelle, ma cousine maternelle de par nos mamans, toutes Sarr.
Je veux parler de Saydaa Mariama Niasse, la madonne Marie de chez nous, pour tous. Celle qui imprima le Coran à l’encre indélébile sur des milliers d’âmes.
Elle érigea la plus grande école musulmane avec vue sur Sainte Marie de Hann, la plus grande école chrétienne du Sénégal. Tout ceci n’est peut être que coïncidence concordante.
Je vais parler des fils Niassenes Medinois, plus exactement du petit fils de Baye, Imam de l’humanité, Al Hassan Cissé, à qui on remis toutes les clefs des capitales internationales de New York à Bali. Symboliquement et formellement, oui. Mais le fond est toujours plus grandiose que les quelques chiffres sur nos billets de banque.
Maintenant, je vous invite sur ma branche, la tour mère, celle du Père fondateur et formateur des Niassenes. El Hadj Abdoulaye Niasse Le Grand. J’ai parlé de ce dernier en premier.
Alors laissez moi vous instruire sur son fils, le Khalif, Mouhamadou Aminata Niasse, Écrivain et poète Arabophone à la reconnaissance internationale. Grand Commandeur de la Tijania avec sa fameuse contre attaque par ses épées lyriques en réponse à « Ibn Mayaaba » qui vint pour torpiller le credo sherifien.
Il fut une rime parfaite dans un temps musicale parfait. Nommé d’après Prophète (P.S.L) , ses parents aussi homonymes des parents de l’Envoyé de Dieu (P.S.L).
Il fit les louanges du « Plus louangé » (P.S.L) et même le récit de la vie du « Bien Aimé » (P.S.L) en proses. Il surpassa « Bousseyri », et même le comptenporain du Messager (P.S.L) » Kaab Ibn Zouhair » à qui il donna son manteau d’où le nom « bourda ».
Oui, pour le surclasser, il donna au premier Khalif des Niassenes, un cadeau premier, en lui donnant la main de sa petite fille Aminatou Aidara (R.T.A), la lionne du Coran, descendante directe « Ali » (R.T.A) le lion de Haibara. Comme la maman des grands hommes vous ne la connaissez pas.
Mais vous avez certainement entendu parler de sa progéniture les deux Lions sherifiens et la Lionne de Paris.
Pour mémoire, je commence par El Hadj Sidy Lamine Niasse. Être très humble, il m’en voudrait certainement pour ce nom métrique réduit à sa plus simple expression, qui reflète la vérité ou le mensonge par omission.
Par sa simplicité légendaire, la voix des sans voix, voix du peuple, il aida à confirmer leurs voix en temps réel, à travers le Sénégal avec son soleil de l’aurore qui met au grand jour la réalité populaire.
Une première en deux mille, faiseur de roi sans parti pris, il est la cause gracieuse de l’appel nocturne de Diouf à Wade, mais aussi en 2012, dans la même logique du coup de fil de Wade à Sall.
Pour que ce dernier essaie, quelques années plus tard de fermer Walf, comme le dit l’adage Wolof, » Celui qui oublie la source de sa puissance est destiné à mordre la poussière ».
Arbitre politique, sifflant toutes fautes, il transforma la place de l’indépendance en carré de liberté (Tahrir Square) sans jamais marcher sur le Palais, ayant déjà un chèque en blanc seing populaire. Il ne demanda jamais à la C.E.N.I de valider sa candidature bien que très présidentiable.
Autodidacte en presse, Érudit en Islam, il, a, d’une seule main fait le bon temps du journalisme Sénégalais.En façonnant la presse libre en équidistance et en conscience, tout en formant l’intellect de la quasi-totalité des acteurs du secteur, et même d’aujourd’hui.
Il n’eut aucune reconnaissance de la République, pas même à titre posthume. Sinon la fuite de ses capitaux organisée par le « Mbalakh Man », esclavagiste à nègres, lui servant de parolier. Dans le monde de la musique universelle l’artiste qui n’écrit pas ses chansons est relégué au rang de perroquet. Excusez moi de ce nom d’oiseau pour dire pire, voix de sirène démoniaque, charognard de l’âme de tous ses mécènes, même du Marabout Prince, propriétaire de Palais.
En presse, il, notre oiseau répétiteur fit abasourdir vérité et l’information par l’obscurentisme, le clinquant et le retentissement évanescent tel un nuage. Mirage bloquant les rayons si radieux de ce lumineux soleil de l’aurore, Walf Fadjri. Faisant nuit avant le soir le chantre de l’émission phare, « Dinè ak Diamono » partit plus que tôt pour ne pas voir la pénombre sur son peuple. L’encre sur ses lignes rendent mes yeux larmoyant, je me retiens, en exorcisant ce mal à travers la plume pour faire de notre peine partagée un tatouage sur l’âme du Sénégal ad vitam aeternam.
La Lionne de Paris c’est mon père au féminin. Mais une mère aussi depuis le premier instant où j’ouvris les yeux à l’hôpital Américain de Neuilly sur Seine.
Elle, droit de la « femmiste » par la soumission et la complémentarité, elle aura foré plus de puits que « Mme Forage » et plus de lieux de prière pour femmes que quiconque au Sénégal.
Assistante de ses deux frères et équidistante même en cas de chaimaillement fraternel. Mère de 7, elle aura assuré l’éducation de plus 40 Niassenes.
Il ya beaucoup plus à dire, mais vue sa modestie je me trouve en clandestinité, vous excuserez ma furtivité.
Ceci pour en venir à Dr Sheikh Ahmad Khalifa Niasse, le Roi Lion, mon éducateur, bienfaiteur, formateur . En résumé mon Bien-aimé. Homme multidimensionnel, dont chaque facette mériterait 100 livres, ceci n’est ni exagération ni parabole. Alors je vais y aller en résumé par 10 ; 100, 1000.
Il aura fait 100 pays, rencontré 100 chefs d’Etats, lu 1000 livres.
Il sauva pendant la crise senegalo-mauritanienne plus de 1000 vies de part et d’autres. Il aura fait 100 personnalités dans le monde. De Farakhan de la « Nation of Islam » à l’Ayatolah Khomeini à qui il fournit le plan de vol pour un meilleur atterrissage à Téhéran. Et ceci depuis le dîner de Neauphle-le-Château à Paris. Votre serviteur est témoin oculaire ayant tout entendu par procuration à travers le cordon ombilical.
Il a annoncé le pacte Abrahamique depuis la visite du Pape Jean Paul II, en entonnant en chœur » Hallelujah, Allahou yah » puis à la AIPAC, chef lieu de la juiverie mondiale sis à New York, il proposa une super religion mosaïque, trinitaire, avec le croissant au dessus de l’étoile de David et enfin la Croix qui ancre le tout.
Père du multipartisme au Sénégal avec sa stratégie actée par Wade à Mogadiscio.
Au moins 100 livres d’auteurs de tous pays parlent de lui. Il a écrit au moins 10 livres . Il aura amené à la Mecque à ses frais plus de 10000 pèlerins. Et chaque jour il donne 1000 plats garnis .
Fondateur de plusieurs cités modèles, fortune légalement et licitement estimée à 100 milliards de nos francs alors que son plat préféré reste le « Maafé maçon ». Il eut un jour un projet de titre pour un de ses livres qu’il voulait intituler « Petit parmi les grands ». « Non , cher père je propose « Le plus Grand parmi les Grands » lui dis-je.
Longue vie ! Niasse!! Et pour vous citer en seconde main: « Le soir descend sur le monde. De grâce restez avec nous »
Comprenez mon émotion, revenons à notre République, soyez indulgents, juste encore quelques étapes.
En démontrant la place centrale du religieux au sein de la République, je ne saurai omettre la chrétienté au Sénégal, minorité de qualité ; avec son éducation d’excellence, sa bonne tenue. Et si cet écrit à une quelconque valeur littéraire c’est à grâce à la cathédrale où l’Ayatolah de Kaolack, mon père, me plaça aux soins des soldats de lumière du Christ, le Saint Esprit incarné.
De même obédience religieuse que le colonisateur blanc, ils ont toujours eu parti pris pour pour la fratrie noire.
A l’improviste chez les Wardini, famille chrétienne du Saloum plus précisément de « Lat Mengué », votre serviteur pendant un jeûne surrerogatoire, eut son meilleur premier repas sur table servie et sertie, digne d’un dernier souper.
Et l’ode de Julien Jouga éloge au plus grand pôle sherifien, fondateur de la Tijania internationale est la préférence de son petit fils, le prince au palais de Fass.
Ceci pour faire montre de la cohésion religieuse qui règne au Sénégal, un trésor qu’aurait aimé avoir le géant africain de Lagos. Mais par la laïcité, la République ferme les yeux sur sa force motrice.
Au nom du spirituel, tous même combat, alors allons vers la grande prêtresse du culte Diola de « Kahsara », « Aline Sitoë Diatta », la lionne. Et curieusement les noms de famille Diatta, Ndiaye et Aidara son synonymes, tous désignant la tête couronnée de la jungle, notre mascotte nationale.
La dame fumant la pipe, plus forte qu’un homme commença à gagner sa vie par le métier de docker, puis à Dakar elle reçut l’appel des esprits qui lui profèrent le pouvoir de rassembler son peuple d’un seul cri de guerre. Crainte par les colons elle fut déporté, elle ne revint jamais mais son esprit est si présente, inspiration pour toute femme, et même pour tous les hommes.
Elle qui symbolise le fromager Diola qui nous donna le mantra « On nous tue mais on ne nous deshonore pas ».
En regardant les faits et gestes de l’homme maire de la localité, je vois que le fruit est mal tombé, bien loin de l’arbre pour atterrir à Khombol où le « mbop » le roseau plie au grès des vents pour servir de pâturage au bovins cayoriens
Bastion Wolof, le Cadior dont votre serviteur est Prince par « Anta Samba Laobè Fall », où le compromis a un effet balancier avec la sagesse guerrière, le candidat dictateur, caméléon n’a su arborer les couleurs immuables des « Ngonè Latyr ».
Pour finir en beauté, les mentions honorables sont dûs à « Al Maktoum Sy », Serigne Cheikh, Érudit, grand opérateur économique et d’une générosité inégalée. Un des premiers marabouts politiques, en duel avec le Président poète.
El Hadj Ibrahima Niasse, détenteur du secret des secrets, le bâtisseur de Leona Niassènes et mon port d’attache à la longue chaîne d’or Tijaane.
Après avoir voyagé avec votre serviteur à travers le temps et l’espace Sénégalais, avec la célérité d’Hermès, nous avons assisté à l’avant État, aux balbutiements de la République, à la maturation de celle-ci, avec ces grand monuments, acteurs de sa construction.
Tirons les résultats avec une analyse SWOT pour inviter à souhait, le Sénégal souhaité.
Oui, les vrais maçons de notre pays n’appartiennent à aucune société secrète, être de lumière ils marchent au grand jour en faisant les bonnes œuvres pour la postérité.
Les faux maçons, monstres de l’ombre, lâches, toujours besognant dans le secret de l’obscurité pour malmener le peuple à travers leurs plans lugubres.
Ne pouvant cacher les soleils énumérés, ils ont bandé les yeux des populations tout en faisant croire à celles ci leur bienveillance et la malfaisance des Religieux.
Quel récupération machiavélique!
Nous avons ensemble vu les briques de notre nation être posées tour à tour par nos saints hommes à barbe et moustaches, signes distinctifs de l’homme à la femme. Et par les saintes avec un foulard abattant un grand travail tout en gardant leur pudeur.
Posez vous cette question. Pourquoi tous nos Présidents et presque toute la classe politique ont choisi de s’émasculer en enlevant leurs poils faciaux symboles différentiels de sexe, marques de sainteté de Jésus(A.S) à Mohamed (P.S.L) en passant par Moïse ( A.S).
La loge obscure a encore frappé !
L’Acte II achevé, nous constatons les apports primordiaux de nos religieux à notre nation, alors que la République après leur avoir imposé toutes les barrières possibles, ils restent marginalisé malgré leur succès.
Dans l’Acte III, on essaiera ensemble d’institutionnaliser et de formaliser leurs rôles factuels de Médiateurs, Conseillers, Acteurs Économiques et Sociaux. C.E.N.I en tant grands électeurs, de moteurs du HCCT , de Sénateurs. Oui, dans tous les cercles de décision de notre pays un et indivisible. Tout ceci prouvé par les faits et occulté par la République.
Nous nous posons toujours la question de savoir pourquoi le Sénégal, vu son âge ne marche pas voire même, ne court pas encore ?
Peut être qu’en ignorant le religieux par l’ablation de ces jambes, de ces mains et même de sa tête, la République à eu un buste inerte à exposer au musée, comme celui de César le Républicain qui franchi quand même le Rubicon.
Alors franchissons la ensemble pour des lendemains chantants!
Acte III: La Loi Droite… à venir.
The GOAT;
Mr Babacar Niasse.