Serigne Bass Abdou Khadre poursuit: « tous les grands hommes sont victimes de mauvaises langues. C’est vrai cependant que l’on ne peut pas être aimé de tout le monde, mais je continuerai mon travail auprès du khalife ».
Visiblement excédé, il assène: « je n’accepterai aucun chantage, mais j’accorde mon pardon à mes pourfendeurs ».
Pour rappel, il avait été recadré par le journaliste El Modou Guèye, après sa réaction sur le Dg de l’Onas