vec Aby Ndour, l’on doit se demander ce qui se passe dans sa tête ?
Aby Ndour s’en prend à tout le monde. Si ce n’est avec Pierre Goudiaby Atépa, c’est avec KFC d’Anta Ngom.
Aby Ndour est dans tous ses états. Elle accuse Pierre Goudiaby Atépa qui se distingue dans la lutte contre l’occupation anarchique de la corniche, de lui avoir fait des propositions indécentes.
Ainsi, soutient-elle, Pierre Goudiaby Atépa lui aurait proposé contre l’espace qu’elle veut occuper sur la corniche où elle veut ériger une buvette de lui offrir la gestion du restaurant situé sur la Porte du Millénaire, de lui payer un appartement, en échange de liens amoureux.
Bien évidemment, l’architecte qui rejette ses accusations, soutient qu’il va ester en justice. Ce n’est pas tout, une autre plainte plane sur la tête de la chanteuse Aby Ndour. Elle est de KFC. Aby Ndour accuse KFC de vouloir s’accaparer de ses terres toujours sur la Corniche. Si ce n’est donc Pierre Goudiaby Atépa, c’est KFC !
L’accusation portée contre KFC a valu à cette entreprise spécialisée dans la restauration de se fendre d’un communiqué, en même temps de menacer de porter plainte.
Le communiqué indique : « Selon les propos de Madame Ndour, tenus le jeudi 2 juillet 2020 à 18 heures 54 minutes sur sa page Facebook, KFC Sénégal convoiterait l’espace de terrain situé sur le rond-point à côté de l’ambassade du Mali, sur la Corniche. Dans sa déclaration, elle affirme que les promoteurs de KFC Sénégal auraient fait pression sur les autorités pour faire déguerpir ses installations ».
Pour mettre fin à toute spéculation, KFC soutient que les affabulations de Ngoné Ndour n’ont aucun fondement, d’autant que ses promoteurs n’ont aucune prétention sur l’espace que veut occuper la chanteuse. KFC soutient n’avoir formulé aucune demande, ni entrepris une démarche dans ce sens.
L’on en vient à se demander si Aby Ndour jouit de toutes ses facultés mentales ? A moins qu’elle ne cherche à se mettre dans la peau d’une victime après son échec dans sa tentative de se frayer une carrière musicale.
La rédaction de Xibaaru