SENELEC – AKILEE – Le jeu de certains membres du CIS qui se disent « offensés »

L’on est en train d’assister à la plus grosse cabale jamais montée au Sénégal avec l’affaire du contrat liant la SENELEC à AKILEE. Les enjeux sont énormes. On parle ici de contrat à plusieurs milliards entre la SENELEC et une start-up sénégalaise AKILEE. Ce que certains ont du mal à admettre. Voir des privés sénégalais dont le seul tort est de croire à leur pays et avoir choisi d’y investir.

Sans doute que les succès sans faire trop de bruit de AKILEE commencent à déranger et à faire des jaloux auprès de certains. Certains qui sont prêts à le lui faire payer, quitte à ce que ce contrat soit rompu pour ensuite être offert comme sur un plateau d’argent à une société étrangère, israélienne en l’occurrence. Voilà tout l’enjeu autour de cette affaire. Pour certains, parce qu’ils sont incapables de prendre des risques en investissant dans des secteurs où ils doivent faire face à la concurrence étrangère, voir que d’autres en ont pris le risque et s’en sortent fort bien, il se trouve que cela peut les rendre jaloux.

Il a fallu que le Club des investisseurs sénégalais (CIS) sorte un communiqué pour apporter son soutien à AKILEE dans cette cabale montée contre la start-up sénégalaise pour qu’il se produise tout un cirque. Bon sang ! Qui rend si hardi le CIS pour oser défendre une entreprise sénégalaise dont le rôle ne doit être que d’attendre pour ramasser les miettes que se contentent de lui laisser les multinationales étrangères ? C’est la réaction de certains membres du CIS qui dopés par on ne sait quoi, font un tintamarre, alors qu’ils ne sont qu’une minorité pour organiser leur démission au sein de cette organisation.

Qu’est-ce qui peut rendre si écœurés ces membres du CIS, et les offense à ce point pour qu’ils organisent tout un tintamarre médiatique pour annoncer leurs démissions de cette structure ? Il y a des non-dits dans cette affaire, il faut dire.

La rédaction de Xibaaru

L’on est en train d’assister à la plus grosse cabale jamais montée au Sénégal avec l’affaire du contrat liant la SENELEC à AKILEE. Les enjeux sont énormes. On parle ici de contrat à plusieurs milliards entre la SENELEC et une start-up sénégalaise AKILEE. Ce que certains ont du mal à admettre. Voir des privés sénégalais dont le seul tort est de croire à leur pays et avoir choisi d’y investir.

Sans doute que les succès sans faire trop de bruit de AKILEE commencent à déranger et à faire des jaloux auprès de certains. Certains qui sont prêts à le lui faire payer, quitte à ce que ce contrat soit rompu pour ensuite être offert comme sur un plateau d’argent à une société étrangère, israélienne en l’occurrence. Voilà tout l’enjeu autour de cette affaire. Pour certains, parce qu’ils sont incapables de prendre des risques en investissant dans des secteurs où ils doivent faire face à la concurrence étrangère, voir que d’autres en ont pris le risque et s’en sortent fort bien, il se trouve que cela peut les rendre jaloux.

Il a fallu que le Club des investisseurs sénégalais (CIS) sorte un communiqué pour apporter son soutien à AKILEE dans cette cabale montée contre la start-up sénégalaise pour qu’il se produise tout un cirque. Bon sang ! Qui rend si hardi le CIS pour oser défendre une entreprise sénégalaise dont le rôle ne doit être que d’attendre pour ramasser les miettes que se contentent de lui laisser les multinationales étrangères ? C’est la réaction de certains membres du CIS qui dopés par on ne sait quoi, font un tintamarre, alors qu’ils ne sont qu’une minorité pour organiser leur démission au sein de cette organisation.

Qu’est-ce qui peut rendre si écœurés ces membres du CIS, et les offense à ce point pour qu’ils organisent tout un tintamarre médiatique pour annoncer leurs démissions de cette structure ? Il y a des non-dits dans cette affaire, il faut dire.

La rédaction de Xibaaru