Dans l’affaire West African Energy (WAE), Samuel Sarr, l’ancien directeur général de l’entreprise, conteste sa détention et cherche à obtenir sa libération provisoire. Depuis novembre dernier, il est placé sous mandat de dépôt et ses avocats ont lancé plusieurs démarches juridiques pour défendre ses droits.
Une nouvelle requête a été déposée devant le juge du deuxième cabinet, en charge de son dossier. Parallèlement, un appel a été formé auprès de la chambre d’accusation pour contester le rejet de sa première demande de mise en liberté, rejetée le 5 février. Une audience est prévue pour le 4 mars afin d’examiner cette nouvelle demande.
L’enjeu de cette audience est majeur pour Samuel Sarr, dont l’avenir immédiat dépendra de la décision judiciaire qui sera rendue à l’issue de l’examen de cette requête.