Debris from a fishing net seen underwater with MY Arctic Sunrise ship in background. The crew of the Greenpeace ship MY Arctic Sunrise voyage into the Great Pacific Garbage Patch documenting plastics and other marine debris. The Great Pacific Garbage Patch is a soupy mix of plastics and microplastics, now twice the size of Texas, in the middle of the North Pacific Ocean.

Toute autorisation de nouveaux navires de pêche contribuerait à décimer les stocks et pourrait exposer des millions de personnes à l’insécurité alimentaire », déclare le responsable de la campagne océan à Greenpeace Afrique. Selon le Dr  Ibrahima CISSE, le ministre est en train de tout faire pour donner des licences à 54 navires d’origine chinoise et turque et ceci conduit à une « mauvaise gestion, à la pêche illégale, non déclarée et non règlementée, à l’expansion de l’industrie de la farine, de l’huile de poisson entrainant la migration clandestine, la pauvreté et la disparition des pêcheurs en mer ».

« Les prix du poisson s’envolent et les stocks de poisson sont dans un état d’épuisement irréversible dans un contexte de lutte contre une pandémie mondiale, nous devrions nous arrêter pour réécrire les règles de notre économie et redéfinir nos relations avec la nature. La recherche d’autorisations dans les pays voisins pour les pêcheurs artisanaux est contradictoire avec l’octroi de licences à des navires étrangers pour les mêmes ressources. Le ministre de la pêche M. Alioune NDOYE doit respecter ses engagements internationaux et nationaux et suivre les recommandations des scientifiques afin de donner la priorité d’accès aux ressources aux communautés côtières » , observe le Dr  Ibrahima CISSE.

 

 

 

 

 

 

 

WALFNet