QUEL « PRIX GONCOURT » ?
SUITE à l’hyper-médiatisation occidentale (suspecte) de la consécration littéraire de notre compatriote Mouhamed Mbougar Sarr, l’ONG ISLAMIQUE JAMRA, tenant comme à l’accoutumé à se conformer au sublime enseignement d’Allah qui recommande au croyant « de ne témoigner que de ce dont il est sûr de science certaine », se fait présentement le devoir de LIRE INTÉGRALEMENT et ATTENTIVEMENT cet ouvrage, qui fait tant jubiler dans l’Hexagone – où le « Prix Goncourt », créé depuis 1903, n’a JAMAIS ÉTÉ DÉCERNÉ à aucune des moults créations littéraires subsahariennes, qui valorisent à foison l’identité culturelle africaine.
De Cheikh Hamidou Kane à Amadou Hampaté Bâ, en passant par Cheikh Anta Diop… AUCUN de ces prestigieux auteurs littéraires subsahariens n’a jamais eu l’heur de bénéficier de cette prestigieuse et plus ancienne distinction littéraire francophone. Pas même cet auteur que ses contempteurs contemporains considéraient comme « le plus Africain des Francais et le plus Français des Africains », Léopold Sédar Sedar Senghor !
JAMRA, qui a toujours été allergique aux effets boule-de-neige des clameurs populaires, se met donc, sans délai, à la lecture studieuse (392 pages), pour ensuite mieux se faire une opinion.
CE FUT naguère la même attitude adoptée par JAMRA, lors de la clameur suscitée par les ouvrages polémiques « Les Versets Sataniques » de Salman Rushdie (1988); « Les Derniers Jours de Muhammad » de Héla Ouardi (2016).
Pour lesquels les postures publiquement prises, et assumées par la suite, par JAMRA sont connues de tous.
Et c’est notre droit le plus absolu.
L’ère de la pensée unique étant supposément révolue !
À très bientôt !
Les Bureaux exécutifs de
JAMRA et de MBAÑ GACCE