Comment éduquer nos enfants ?…Par Mamadou Lamine Diallo
« La priorité, c’est l’éducation ». c’est ce qu’on aime répéter dans l’élite BBY. Sans doute après l’eau et la santé, la Covid 19 a précisé le débat. Au Sénégal, il y a trois types d’éducation qui se côtoient, la scolaire, les daara et les métiers, éleveurs, pêcheurs, apprentis etc..). L’Etat s’occupe pour l’essentiel des scolarisés. A 19, 20 ans, ils reçoivent un enseignement supérieur après le baccalauréat.
Alors quelles valeurs d’éducation ? Par exemple, doit-on être fier d’avoir dépensé près de 900 milliards TTC pour un TER produit des usines françaises ? Je peux être content pour la France qui a réussi une prouesse technologique, mais pour le patriote responsable que je suis, ce n’est guère un motif de fierté ; contrairement au Président Macky Sall qui en profite pour mettre en avant son beau-frère, dauphin caché.
“Nous ne voulons pas que nos enfants soient éduqués pour être fiers ou complexés devant la technologie étrangère dans les valeurs de l’agenda gay.“
Dans cette atmosphère de fin de règne, les scandales financiers montent en surface. Il y en a encore d’autres à découvrir. Macky Sall a tôt fait d’abandonner la gouvernance sobre et vertueuse pour la prédation des ressources, les souris se sont mises à danser, à mesure que les financements étaient mobilisés, endettement massif, et promotion de l’agenda Gay.
Cet agenda est une agression violente contre nos valeurs, notre foi religieuse et notre souveraineté nationale. Nous ne voulons pas que nos enfants soient éduqués dans les valeurs de l’agenda Gay. C’est pourquoi chefs religieux musulmans, catholiques, protestants, Bois sacré, sont unanimes à soutenir la proposition de loi pour la criminalisation de l’homosexualité, émanation populaire. Après la fête du TER et l’hommage rendu à l’industrie française, la classe des prédateurs de BBY pourra être attentive à la position du Khalife Général des Mourides qui les a sauvés d’une déchéance certaine lors des émeutes de mars 2021. La balle est dans le camp du Président de l’Assemblée nationale.
Mamadou Lamine Diallo