Dans l’une de ses récentes sorties effectuées, en live, sur sa page Facebook, le maire de la ville de Ziguinchor Ousmane Sonko informait que sa voiture a été sabotée. Une déclaration qui a fait réagir Madiambal Diagne dans sa chronique hebdomadaire.
« i[La plaignante, qui l’accuse de viol au salon «Sweet beauty]», a publié le jeudi 9 juin 2022, une vidéo tournant en dérision son présumé agresseur sexuel et l’appelant à une confrontation publique. Comme à l’accoutumée, Ousmane Sonko a réagi par une vidéo diffusée le 10 juin 2022, pour révéler une prétendue tentative d’assassinat contre sa personne]i », a rappelé Madiambal Diagne.
Ce dernier de poursuivre : « Il affirme que le jour de la marche du 8 juin 2022, son véhicule, qui était garé à quelques encablures du lieu du meeting, aurait été saboté et qu’un drame aurait pu survenir. Il n’est véritablement pas besoin d’être un expert en mécanique pour flairer le mensonge».
« Où étaient le chauffeur du véhicule, la sécurité de Ousmane Sonko et les milliers de personnes qui étaient aux alentours de la Place de la Nation, pour que des criminels puissent accéder, à l’insu de tout le monde, audit véhicule, qui n’est pas un véhicule quelconque et trouver le temps de desserrer les écrous des roues ? », s’est interrogé le Journaliste.
« Franchement, une personne qui nourrirait le projet d’attenter à la vie de Ousmane Sonko, trouverait l’occasion de le faire dans les lupanars comme «Sweet beauty» ou même quand il se rendait tard le soir dans un coupe-gorge de Thiaroye, sans sa garde rapprochée, dans l’espoir de pouvoir amadouer une nouvelle victime et sa famille. Ou encore dans son restaurant, «Le Tabouret», qu’il avait ouvert pour son épouse et qu’il a fini par lui arracher au profit d’une dame qui lui était «si proche» et qui lui en voudrait désormais à mort et qui s’est préparée, elle aussi, à balancer des boules puantes », estime-t-il.