Après une union « sacrée », les deux sacrés phénomènes du monde poltico-religieux se lancent des flèches empoisonnées. Moustapha avait, à l’époque, tiré le premier en taxant Kara de « comédien ». Ce dernier n’avait donc pas oublié. Il a donc profité de l’occasion qui lui est maintenant donnée pour décocher sa flèche à lui et répondre au prétentieux mourtachidine.
Ainsi Kara n’est pas allé chercher loin. Il a puisé dans le même type de jargons pour qualifier l’enfant gâté de Tivaoune. Ainsi pour Kara, Moustapha Sy joue du théâtre ! Et comme comédie et théâtre s’accouplent, ils doivent être dès lors kif kif.
En tout cas comme nous l’avions évoqué dans notre édition No 115 de JdJ ( du 23 au 30 juillet 2020 ) l’accouplement de ces deux énergumènes qui constitue un péril pour la République, ne pourra nous mener qu’au désastre.
Nous, nous jubilons à l’idée de les voir se vouer aux gémonies. Nous comptons dès à présent les coups !
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