(Assirou.net) – La disparition tragique de Matar Diagne, un étudiant en droit public à l’Université Gaston Berger, continue de susciter de nombreuses interrogations au sein de sa famille et de ses proches. Alors que la thèse du suicide a été avancée après son décès, ses proches contestent cette version, peinant à croire que leur cher Matar aurait pu en venir à une telle décision.

Issu d’un milieu modeste à Guinaw-Rails-Sud, Matar avait grandi dans des conditions difficiles, notamment en raison de la maladie de sa mère, victime d’un AVC. Élève brillant, pieux, et casanier, il était particulièrement apprécié pour son sérieux et son dévouement envers sa famille, contribuant même aux soins de sa mère grâce à sa bourse d’études.

Cependant, ses proches rejettent l’idée d’une maladie cachée, mentionnée dans sa supposée lettre d’adieu. Ils insistent sur le fait qu’il ne manifestait aucun signe de détresse émotionnelle. Son dernier séjour en famille à la fin de l’année n’avait laissé présager aucun signe de crise.

Le mystère entourant les circonstances réelles de sa disparition reste entier et demeure un sujet de désarroi pour sa famille et ses amis.