Depuis l’ouverture du processus électoral, Ousmane Sonko se bat sur plusieurs fronts judiciaires, avec ses avocats, afin que sa candidature à la présidentielle puisse être acceptée. Mais, après sa radiation des listes électorales, l’épisode du refus des fiches de parrainage et le rejet de sa caution par la Cdc, les choses se compliquent pour lui. Khalifa Sall, qui a vécu une histoire semblable, s’est exprimé sur la situation du leader des «patriotes» hier vendredi à Matam.
«Je pense qu’ils ont raison de se battre, ils ont raison d’insister, d’ouvrir toutes les voies qui leur permettraient d’âtre acceptés. Comme je dis toujours, ‘‘Dara bessufi’’ (ce n’est pas nouveau). Je l’ai vécu moi 2017- 2019. J’ai vécu 28 mois de parcours judiciaire pour pouvoir être candidat.