« Grimpez si vous voulez, mais n’oubliez jamais que la force et le courage ne sont rien sans prudence, et qu’un seul moment de négligence peut détruire une vie entière de bonheur. N’agissez jamais à la hâte, prenez garde au moindre pas. Et dès le début, pensez que ce pourrait être la fin. » Edward Whimper.
Il avait décidé de lutter contre le système, lui, le messie qui considérait tous ceux qui ont eu à gérer le Sénégal comme des bêtes à fusiller. Pour se positionner sur l’échiquier politique, cet imposteur considérait tout ce qui se faisait avant comme de la poubelle où il ne pouvait y avoir que des ordures. Rien de bon. La vie, avec ses aléas, a fini par nous faire découvrir une autre facette de l’homme. Il est pire que ceux qu’il dénonçait car il a des vices et pas des moindres.
Ce féroce cinquantenaire est accusé de viol suivi de menaces de mort par une frêle fillette qui vient de sortir de la puberté. Le fait de ne pas vouloir porter plainte, dès le début de cette affaire,
pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles démontre, à bien des égards, que celui qui était si prompt à dégainer et déposer une plainte sur la table du procureur a des choses à se reprocher.
Des questions nous viennent alors à l’esprit.
1/ Que faisait Sonko dans ce salon de massage étant donné qu’il a deux épouses?
2/ Au cas où ces épouses refusent de le masser pourquoi, lui, le leader « en carton » de l’opposition n’a t-il pas convoqué cette masseuse ou alors un kinésithérapeute chez lui?
3/Pourquoi n’était-il pas accompagné d’une de ses femmes dans ce salon de massage?
Toute chose qui prouve à suffisance qu’il était animé d’un dessein inavoué d’autant plus qu’il y est allé plus d’une fois. Le vice corrompt et déprave l’âme. Le viol, s’il est avéré, détruit psychologiquement la femme en ce sens qu’elle trainera celà dans sa conscience, durant tout le restant de sa vie, comme un boulet de canon. C’est pourquoi les violeurs doivent être sévèrement punis par la loi.
Nous ne sommes pas juge pour dire qu’il en est un même si tout porte à le croire. Par voie de fait, nous exigeons solennellement que toute la lumière soit faite dans cette sordide affaire car la femme est sacrée. Nul n’a le droit de violenter, de menacer, d’abuser et de violer cette source de vie.
Éternel Wadiste
Moïse Rampino