Ses relations avec Macky Sall, Cheikh Yérim Seck fait encore un aveu : ami et conseiller occulte du chef de l’Etat…Pourquoi pas « Faucon silencieux » ?
« Ku wax, fègne ». Cheikh Yérim Seck jette le masque. Le journaliste reconverti dans les affaires qui était l’invité de l’émission Jakaarlo de la TFM de vendredi dernier, évoque ses relations avec le Président de la République, Macky Sall. Cheikh Yérim Seck révèle que lorsqu’il était en prison, c’est le Chef de l’Etat qui s’occupait de son foyer. Tiens, tiens ! Cheikh Yérim Seck qui n’est vraiment pas dans le besoin, doit occuper une place de choix auprès de Macky Sall pour bénéficier des largesses de ce dernier. En tout cas, cet aveu de Cheikh Yérim Seck remet encore sur la table, la question de la gouvernance au Sénégal.
Il y a quelque temps, Cheikh Yérim Seck avait fait des révélations inédites en indiquant que le Président de la République, Macky Sall s’entretient régulièrement au téléphone avec Idrissa Seck, le patron du parti Rewmi et a pris langue avec Karim Wade. Ne s’arrêtant en si bon chemin, Cheikh Yérim Seck a parlé de collaborateurs du Chef de l’Etat, prétendants à sa succession. Cheikh Yérim Seck se targue de donner dans l’ombre des conseils au Chef de l’Etat, Macky Sall.
Si l’on suit attentivement Cheikh Yérim Seck, l’on ne peut en déduire qu’il fait partie du cercle du Chef de l’Etat. Et, c’est pourquoi, il est dans le secret des dieux. Condamné par la justice, Cheikh Yérim Seck n’a eu à purger qu’une partie de sa peine avant de bénéficier de la liberté conditionnelle. L’ancien dictateur guinéen, Dadis Camara alors qu’il était au pouvoir, avait accusé Cheikh Yérim Seck de faire du chantage sur lui.
Cheikh Yérim Seck voit ainsi son nom cité dans de nombreuses affaires. Il fait partie des privilégiés sous le régime du Président Macky Sall, après avoir révélé que c’est ce dernier qui s’occupait de son foyer pendant qu’il était au pouvoir. Pourquoi pas encore que ce dernier n’est pas étranger de la remise en liberté conditionnelle dont il a bénéficié.
La rédaction de Xibaaru