Entrons directement dans le vif du sujet. Nous avons, dans le titre, parlé des trois cavaliers de l’apocalypse. Alors je n’irai pas par quatre chemins. Je les cite :

Ousmane Sonko,

Certains y apposent le titre de Président. Par constat, laissez-moi lui attribuer le sobriquet du cavalier en chef, mais en précisant : celui de l’Armageddon sénégalais.

Ensuite vient le second bien qu’étant son doyen en politique, mais sont petit frère de lait comme il aime à le dire:

Barthélemy Diaz.

Et ensuite vient le troisième qui, en les singeant, a oublié que les tables, et pas seulement à l’Assemblée nationale, n’étaient point des sièges de députés. Je parle de celui qui se fait appeler le député du peuple jusqu’à vouloir déverser sa libido sur la première femme qu’il rencontre. Enfreignant, ainsi, tous ses engagements envers sa religion . Mais promettant, quand même, de faire respecter, paradoxalement, le règlement intérieur de l’Assemblée. L’amour pour son peuple est à saluer, le mode d’expression qu’il a choisi est à blâmer.

Si on commence par la tête du serpent, le corps glissera certes. On a, depuis quelques années, constaté l’émergence de ce personnage. inspecteur des Domaines qui a confondu son Institution avec celle de l’Inspection Générale d’État. Ne soyez pas confus car les actions du numéro un du Pastef peuvent mener à cela. Il appelle à la confusion des rôles en voulant assumer celui de législateur, de Procureur et de gendarme. Le seul qu’il n’assume pas encore est celui du violeur. Oui, je dis viol. Et même répétitif et combiné. Je précise : D’abord de celui du couvre feu, puis de celui l’intimité familiale de Sweet Beauté et de celui de l’engagement envers ses deux épouses. Je n’étais pas présent au moment des faits mais la déduction peut nous faire voir au delà de nos yeux. Car le meilleur alibi du voleur sera toujours le mensonge. Et pour cela nous sommes tous témoins oculaires. Un inspecteur des Impôts et Domaines, lanceur d’alerte dans ses moments perdus qui se retrouve avec une maison à Cité Keur Guorgui d’une valeur d’un milliards de nos francs, nous dit qu’il n’a pas de quoi payer un expert en épine dorsale . Mais ne peut être soulagé que par Adji Sarr qui, elle, arrive à lui remonter l’échine jusqu’à lui faire entonner le brut du reptile :tssiiii! Mais cette fois pas en chœur. Ousmane, nous t’avons compris !

Et aujourd’hui étant dans un monde où la sexualité a été libéralisée j’avoue que ce bel homme, fier et grand de taille avec ses postures, ses poses et ses manières gagnera le vote la communauté lgbtq+ parce qu’ayant réussi le défilé de mode. Car il n’y a de contenu ni dans son discours, ni dans son programme.

Une lecture de la pyramide de Maslow aimerait que l’on réussisse graduellement sur le plan personnel, familial, communautaire, régional, national et, même plus tard, universel. Mais en respectant les étape. Le petit Ousmane à été nourri, éduqué, rémunéré par la Mère Patrie sous la forme de l’État du Sénégal. Le retour sur investissement été mauvais car il indexe avec dédain notre Mère Patrie (ce pays là ) à tous en jetant sur elle discrédit, anathèmes et calomnies. N’ayant jamais rien réussi dans sa vie, à part ses études avec le concours de l’État. Et ne pouvant offrir à maman une seule fleur, il s’est résolu à lui jeter des immondices. Tout en scandant son amour pour elle et en disqualifiant ses autres enfants.

Et, tenez vous bien, tout ceci par un pseudo patriotisme. Le Trump Sénégalais, comme l’appelle la presse internationale, en parlant de patriotisme il parle, en fait, d’un nationalisme venu du Sud et qui piétine tous les valeurs de notre République que sont l’hospitalité, la tolérance, la concertation et le compromis. Ces valeurs, fondement immatériel du Sénégal, Mr Ousmane Sonko est venu les bafouer pour nous offrir en lieu et place des pertes de vies humaines tout juste pour ne pas être l’agneau sacrificiel. Oui, ce jour là, à la stèle Mermoz les bras dans le dos il a orchestré la sale besogne qui fera une dizaine de morts .Tout ceci par peur d’aller en prison. C’est lâche!

Le second du trio est Diaz . Lui, ayant surestimé le danger, a vu sa vie défiler devant ses yeux et ,par peur, tua pour survivre. Mais tout ceci s’est passé dans sa tête et dans la rue . Mais jamais à l’intérieur de la Mairie. J’aurais de la sympathie pour lui si les « assaillants » étaient armés de pistolets comme lui et étaient rentrés dans la Mairie et défoncé la porte de son bureau . Un permis de port d’arme, ne sera jamais une autorisation de tuer. Et tous les détenteurs, dont moi même, savent qu’en période électorale cette permission se trouve suspendue.

Mais il s’est, certes, défendu mais de manière illégitime. Un peureux arbore beaucoup de postures mais il surestime toujours le danger, se pensant toujours dos au mur. Alors que c’est lui même qui est sorti de son institution pour être assaillant avec une force supérieure. Je vous ramène à la vidéo.

Pour dresser un tableau fidèle du paysage politique actuel, ayant déjà cité les antagonistes, il faudrait que je parle de l’alternative réussie à l’alternance. Notre héro national est S.E.M Macky Sall, Président de la République du Sénégal porteur du mandat de tous les sénégalais et seule personne habilitée à parler au nom du peuple. Je dis ceci , étant plutôt de pensée libérale, plus précisément Wadiste et même ancien détracteur du candidat Sall. Entonnant l’opinion d’alors pour dire que c’est le juriste Président qui a les carnets d’adresses, les possibilités de mobilisation des ressources financières, l’aura internationale. Ceci étant une vérité absolue. Et j’attendais le soir du pays comme si c’était déjà le crépuscule, tout en scrutant les faux pas du candidat Sall devenu Président en me disant qu’il n’allait plus pouvoir payer les salaires sous peu. Dans nos têtes c’était la fin d’une ère radieuse et nous nous préparions tous à sept ans de vaches maigres à proportion biblique. Il força mon respect en surpassant les réalisations du Maître Wade avec une efficacité et une efficience accrues. Tout ceci sans tambour ni trompette.

Pour ceux qui on la mémoire courte laissez-moi vous rappeler les délestage, les projets inachevés d’où on ne voyait pas le bout du tunnel. Sans parler du redressement de la moralité détériorée. Après ce voyage effectué dans le temps vous y voyez plus clair. Le Président Sall muni de la main de Midas a élevé le Sénégal dans un rêve utopique réalisée en quelques années alors que plus tôt c’était inimaginable. On parle de béni oui oui. Ce n’est, peut-être, pas celui qui n’a pas courbé l’échine devant le leader du monde libre, lors de la visite d’Obama en rappelant nos valeurs humanistes supérieures à la moralité Américaine. Reçu en Russie en grandes pompes avec tous les honneurs. Vladimir a montré la primauté du droit d’aînesse par la proximité et les chuchotements. Tout ceci à la place de la table kilométrique de Macron. Dans un jour de repos, celui du Seigneur, il se hisse sur le toit de l’Afrique depuis Addis Abbeba tout en hissant toute la nation sénégalaise depuis le Cameroun en l’auréolant d’un Stade flambant neuf conçu trois ans auparavant. Une pierre n’a jamais fait meilleurs trois coups. Et tout ceci en une passe de main, avec une telle célérité qui laissa les arbitres bouche bée .au point d’en perdre leurs sifflets. Le record du « pipe del oro », fut battu. Feu Maradona, Grand frère de Messie. Ceci pour glisser vers notre Marie tropicalisée et Madonna nationale. La Première des premières dames, si senegalo-sénégalaise qui a choisi de « servir le Sénégal » au lieu de régner en le toisant. Le seul reproche qui lui est fait est son excès de simplicité et sa modestie légendaire. Si je poursuis dans cette lancée cet article deviendrait un fleuve d’encre. Voila la messe est dite. Vérité véridique venant du Véridique. Votre serviteur.

NB: Cet article a été décliné en trois langues:
Arabe, Anglais et Français.

The GOAT;
Mr Babacar Niasse