Des politiciens jaloux payent des activistes pour « attaquer » Antoine Diome

Le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome doit surveiller ses arrières. Il ne se passe plus un seul meeting de l’opposition où les personnalités les plus attaquées sont le président de la république et son ministre de l’Intérieur, Antoine Diome. Le premier flic du Sénégal qui abat un travail important serait la cible de politiciens tapis dans l’ombre. Ces derniers seraient jaloux du travail titanesque abattu par lui. Des activistes et membres de la société civile n’ont que ces mots à la bouche : « Antoine Diome démission ». Tout comme les Mimi Touré, Mahammed Dionne, Aly Ngouille Ndiaye, Amadou Ba, Makhtar Cissé et Omar Youm, Antoine Diome serait la cible de politiciens qui veulent isoler le Président de la République.

antoineAntoine Diome est un magistrat de formation qui se voit nommer à la tête du ministère de l’Intérieur. Ce qui n’arrange guère les affaires des politiciens, notamment ceux de l’opposition. Ces derniers savent que pour parler et débattre avec le ministre de l’Intérieur, ils ont en face d’eux, un magistrat qui maîtrise mieux que quiconque les textes et lois du pays. Cela sème la panique dans les rangs de tous ces politiciens qui ne souhaitent nullement avoir en face d’eux¸ un tel interlocuteur capable.

Un interlocuteur capable sur tous les sujets abordés, de leur apporter des répliques. Cela semble nouveau, mais le Sénégal a enfin un ministre de l’Intérieur, capable de déceler la moindre faille sur les dossiers de candidature à des élections. L’on a tous suivi la polémique qui enfle le landerneau politique avec le rejet de plusieurs listes de candidature en direction des élections législatives du 31 juillet. Oui, c’est bien nouveau ! Et, il faudra s’y habituer au Sénégal dorénavant. Il ne faudrait pas s’étonner de voir par exemple, le ministre de l’Intérieur s’en prendre, à des partis, des syndicats, des organisations de la société civile, des ONG qui ne seraient pas en règle vis-à-vis des textes de la République.

C’est pour toutes ces raisons que l’actuel ministre de l’Intérieur dérange. Il ne se passe plus de manifestations, sans que son nom ne soit traîné à la boue. Antoine Diome est la cible favorite en ce moment des manifestants de l’opposition. Certains politiciens qui sont des jaloux, préfèrent même payer des activistes ou être derrière eux, rien que pour se payer la tête du ministre de l’Intérieur devenu « l’ennemi public numéro 2 » à abattre derrière le Président de la République Macky Sall, lors des manifestations de l’opposition.

Et ils vont jusqu’à payer des « community managers » pour coller à la peau d’Antoine Diome, le rôle de celui qui lorgne le fauteuil de Macky Sall. Sur les réseaux sociaux, on voit apparaître ces mêmes accusations qui ont valu le limogeage de Mahammed Dionne, Mimi Touré, Aly Ngouille Ndiaye et Amadou Ba. Antoine Diome est aujourd’hui accusé de vouloir ce fauteuil. Et l’on connaît ce faucon qui est derrière ces inventions assassines…(voir copie d’écran)

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Seulement, la manœuvre devient étroite pour ces politiciens jaloux qui tentent de mener des campagnes de dénigrement à son endroit. La tâche ne leur est guère aisée. Car, il est difficile de convaincre le Président de la République Macky Sall à se séparer d’un si précieux collaborateur redouté, et considéré par certains comme un empêcheur de tourner en rond. Antoine Diome, ministre de l’Intérieur, cela ne fait certainement pas les affaires de certains qui souhaitent le voir éloigné de tout, afin de mieux s’en prendre au Président de la République Macky Sall…

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En fait, ceux qui connaissent mieux l’homme, savent qu’Antoine Diome est un homme de dossiers qui maitrise à souhait les textes et lois de la République. Révélé en sa qualité de Procureur adjoint à la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) lors du procès contre Karim Wade, Antoine Diome avait mis tout le monde d’accord grâce à la manière dont il avait réussi à démonter tous les arguments de la défense. Sa nomination à la tête de l’Agence judiciaire de l’Etat, avait vu comme il réussissait à se mettre tout le temps au-devant de la scène pour défendre l’Etat.

Assirou avec xibaaru